Je revois la ville en fête et en délire Suffoquant sous le soleil et sous la joie Et j'entends dans la musique les cris, les rires Qui éclatent et rebondissent autour de moi
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent Étourdie, désemparée, je reste là Quand soudain, je me retourne, il se recule Et la foule vient me jeter entre ses bras
Emportés par la foule qui nous traîne, nous entraîne Écrasés l'un contre l'autre, nous ne formons qu'un seul corps Et le flot sans effort nous pousse, enchaînés l'un et l'autre Et nous laisse tous deux épanouis, enivrés et heureux
Entraînés par la foule qui s'élance et qui danse une folle farandole Nos deux mains restent soudées Et parfois soulevés, nos deux corps enlacés s'envolent Et retombent tous deux épanouis, enivrés et heureux
Et la joie éclaboussée par son sourire Me transperce et rejaillit au fond de moi Mais soudain je pousse un cri parmi les rires Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras
Emportés par la foule qui nous traîne, nous entraîne Nous éloigne l'un de l'autre, je lutte et je me débats Mais le son de ma voix s'étouffe dans les rires des autres Et je crie de douleur, de fureur et de rage et je pleure
Étraînée par la foule qui s'élance et qui danse une folle farandole Je suis emportée au loin Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole L'homme qu'elle m'avait donné et que je n'ai jamais retrouvé
Je ne rêve plus Je ne fume plus Je n'ai même plus d'histoire Je suis sale sans toi Je suis laide sans toi Comme une orpheline dans un dortoir Je n'ai plus envie De vivre ma vie Ma vie cesse quand tu pars Je n'ai plus de vie Et même mon lit Se transforme en quai de gare Quand tu t'en vas
Je suis malade Complètement malade Comme quand ma mère sortait le soir Et qu'elle me laissait seule avec mon désespoir Je suis malade Parfaitement malade T'arrives on ne sait jamais quand Tu pars on ne sait jamais où Et ça va faire bientôt deux ans Que tu t'en fous
Comme à un rocher Comme à un péché Je suis accroché à toi Je suis fatiguée, je suis épuisée De faire semblant d'être heureuse Quand ils sont là Je bois toutes les nuits Et tous les whiskys Pour moi ont le même goût Et tous les bateaux Portent ton drapeau Je ne sais plus où aller tu es partout
Je suis malade Complètement malade Je verse mon sang dans ton corps Et je suis comme un oiseau mort Quand toi tu dors Je suis malade Parfaitement malade Tu m'as privée de tous mes chants Tu m'as vidée de tous mes mots Pourtant moi j'avais du talent Avant ta peau
Cet amour me tue Si ça continue Je crèverai seule avec moi Près de ma radio Comme un gosse idiot En écoutant ma propre voix qui chantera
Je suis malade Complètement malade Comme quand ma mère sortait le soir Et qu'elle me laissait seule avec mon désespoir Je suis malade C'est ça Je suis malade Tu m'as privée de tous mes chants Tu m'as vidée de tous mes mots Et j'ai le cœur complètement malade Cerné de barricades T'entends Je suis malade
Oh ma douce souffrance Pourquoi s'acharner? Tu recommences Je ne suis qu'un être sans importance Sans lui, je suis un peu paro Je déambule seule dans le métro
Une dernière danse Pour oublier ma peine immense Je veux m'enfuir que tout recommence Oh ma douce souffrance
Je remue le ciel, le jour, la nuit Je danse avec le vent, la pluie Un peu d'amour, un brin de miel Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse, danse
Et dans le bruit, je cours et j'ai peur Est-ce mon tour? Vient la douleur Dans tout Paris, je m'abandonne Et je m'envole, vole, vole, vole, vole, vole, vole
Que d'espérance Sur ce chemin en ton absence J'ai beau trimer Sans toi ma vie n'est qu'un décor qui brille, vide de sens
Je remue le ciel, le jour, la nuit Je danse avec le vent, la pluie Un peu d'amour, un brin de miel Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse, danse
Et dans le bruit, je cours et j'ai peur Est-ce mon tour? Vient la douleur Dans tout Paris, je m'abandonne Et je m'envole, vole, vole, vole, vole, vole vole
Dans cette douce souffrance Dont j'ai payé toutes les offenses Écoute comme mon cœur est immense Je suis une enfant du monde
Je remue le ciel, le jour, la nuit Je danse avec le vent, la pluie Un peu d'amour, un brin de miel Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse, danse
Et dans le bruit, je cours et j'ai peur Est-ce mon tour? Vient la douleur Dans tout Paris, je m'abandonne Et je m'envole, vole, vole, vole, vole, vole vole
Parfois je pense à toi dans les voitures Le pire, c'est les voyages, c'est d'aventure Une chanson fait revivre un souvenir Les questions sans réponse ça c'est le pire
Est-ce que tu m'entends, est-ce que tu me vois? Qu'est-ce que tu dirais, toi, si t'étais là? Est-ce que ce sont des signes que tu m'envoies? Qu'est-ce que tu ferais, toi, si t'étais là?
Je me raconte des histoires pour m'endormir Pour endormir ma peine et pour sourire J'ai des conversations imaginaires Avec des gens qui ne sont pas sur la terre
Est-ce que tu m'entends, est-ce que tu me vois? Qu'est-ce que tu dirais, toi, si t'étais là? Est-ce que ce sont des signes que tu m'envoies? Qu'est-ce que tu ferais, toi, si t'étais là?
Je m'en fous si on a peur que je tienne pas le coup Je sais que t'es là pas loin, même si c'est fou Les fous c'est fait pour faire fondre les armures Pour faire pleurer les gens dans les voitures
Est-ce que tu m'entends, est-ce que tu me vois? Qu'est-ce que tu dirais, toi, si t'étais là? Est-ce que ce sont des signes que tu m'envoies? Qu'est-ce que tu ferais, toi, si t'étais là?
La Marseillaise est le chant patriotique de la Révolution française, adopté par la France
comme hymne national : une première fois par la Convention pendant neuf ans
du 14juillet1795 jusqu'à
l'Empire en 1804, puis définitivement en 1879 sous la Troisième République.
Les six premiers couplets sont
écrits par Claude-Joseph Rouget de Lisle en 1792 pour l'Armée du Rhin à Strasbourg, à la suite de la déclaration de guerre de la France à l'Autriche. Dans ce contexte originel, La Marseillaise est
un chant de guerre révolutionnaire, un hymne à la liberté, un appel patriotique
à la mobilisation générale et une exhortation au combat contre la tyrannie et l'invasion étrangère.
La Marseillaise est décrétée chant national le 14juillet1795 (26
messidor an III) par la Convention, à l'initiative du Comité de Salut public.
Abandonnée en 1804 sous l’Empire et remplacée par le Chant du départ, elle est reprise en
1830 pendant la révolution des Trois Glorieuses qui porte Louis-Philippe Ier au pouvoir. Berlioz en élabore une orchestration qu’il dédie à Rouget de Lisle.
La IIIe République
en fait l'hymne national le 14 février 1879 et, en 1887, une « version
officielle » est adoptée en prévision de la célébration du Centenaire de
la Révolution. Le 14 juillet 1915, les cendres de Rouget de Lisle sont transférées aux Invalides.
Pendant la période du régime de Vichy, bien qu'elle soit toujours l'hymne national, elle est
souvent accompagnée par le chant « Maréchal, nous voilà ! ». En zone occupée, le
commandement militaire allemand interdit de la jouer et de la chanter à partir
du 17juillet1941.
Son caractère d’hymne national est à
nouveau affirmé dans l’article 2 de la Constitution du 27 octobre 1946 par la IVe République, et
en 1958 — par l’article 2 de la
Constitution de la Cinquième République française. Valéry Giscard d'Estaing, sous
son mandat de Président de la République française, fait diminuer le tempo
de La Marseillaise afin de retrouver le rythme original.
Allons enfants de la Patrie,
le jour de gloire est arrivé
Contre nous de la tyrannie
L'étendard sanglant est levé.
L'étendard sanglant est levé:
Entendez-vous dans nos campagnes
Mugir ces féroces soldats!
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger vos fils et vos compagnes.
Refrain:
Aux armes citoyens,
Formez vos bataillons.
Marchons! Marchons!
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons
Que veut cette horde d'esclaves
De traîtres, de rois conjurés?
Pour qui ces ignobles entraves
Ces fers dès longtemps préparés
Ces fers dès longtemps préparés
Français, pour nous, Ah quel outrage
Quel transport il doit exciter!
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique esclavage
Refrain:
Quoi! Des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers!
Quoi! Ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers.
Terrasseraient nos fiers guerriers.
Grand Dieu! Par des mains enchaînées
Nos fronts, sous le joug, se ploieraient.
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées
Refrain:
Tremblez tyrans, et vous perfides
L'opprobre de tous les partis.
Tremblez, vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix!
Vont enfin recevoir leur prix!
Tout est soldat pour vous combattre.
S'ils tombent nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux
Contre vous, tous prêts à se battre
Refrain:
Français en guerriers magnanimes
Portez ou retenez vos coups.
Épargnez ces tristes victimes
A regrets s'armant contre nous!
A regrets s'armant contre nous!
Mais ce despote sanguinaire
Mais les complices de Bouillé
Tous les tigres qui sans pitié
Déchirent le sein de leur mère!
Refrain:
Amour Sacré de la Patrie
Conduis, soutiens nos braves vengeurs.
Liberté, Liberté chérie
Combats avec tes défenseurs
Combats avec tes défenseurs
Sous nos drapeaux, que la victoire
Accoure à tes mâles accents
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et nous, notre gloire
Refrain:
Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n'y seront plus
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leur vertus!
Et la trace de leur vertus!
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil.
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre
Il croisa cette même fille, avec son doux parfum Qu'elle vienne lui parler, il espère tous les jours Ce qu'il ressent au fond d'lui, c'est ce qu'on appelle l'amour Mais Louis, il est timide Et elle, elle est si belle Il ne veux pas y aller, il est collé au fond d'son siège Une fois elle lui a souri quand elle est descendue Et depuis ce jour là, il ne l'a jamais revu
Ah il aurait dû y aller Il aurait dû le faire, crois-moi On a tous dit "ah c'est dommage, ah c'est dommage" C'est p't'être la dernière fois
Yasmine a une belle voix, elle sait qu'elle est douée Dans la tempête de sa vie, la musique est sa bouée Face à ses mélodies, le monde est à ses pieds Mais son père lui répétait "trouve-toi un vrai métier" Parfois elle s'imagine sous la lumière des projecteurs Sur la scène à recevoir les compliments et les jets de fleurs Mais Yasmine est rouillée, coincée dans la routine Ça lui arrive de chanter quand elle travaille à l'usine
Ah elle aurait dû y aller Elle aurait dû le faire, crois-moi On a tous dit "ah c'est dommage, ah c'est dommage" C'est p't'être la dernière fois
Ah elle aurait dû y aller Elle aurait dû le faire, crois-moi On a tous dit "ah c'est dommage, ah c'est dommage" C'est p't'être la dernière fois
Diego est affalé au fond du canapé Il engueule son p'tit frère quand il passe devant la télé Ses amis sont sortis, il ne les a pas suivis Comme souvent seul, la Lune viendra lui tenir compagnie Diego est triste il ne veut rien faire de sa nuit Il déprime de ne pas trouver la femme de sa vie Mais mon pauvre Diego, tu t'es tellement trompé C'était à cette soirée que t'allais la rencontrer
Ah il aurait dû y aller Il aurait dû le faire, crois-moi On a tous dit "ah c'est dommage, ah c'est dommage" C'est p't'être la dernière fois
Pauline elle est discrète, elle oublie qu'elle est belle Elle a sur tout le corps des taches de la couleur du ciel Son mari rentre bientôt, elle veut même pas y penser Quand il lui prend le bras, c'est pas pour la faire danser Elle repense à la mairie, cette décision qu'elle a prise À cette après midi où elle avait fait sa valise Elle avait un avenir, un fils à élever Après la dernière danse, elle s'est pas relevée
Ah elle aurait dû y aller Elle aurait dû le faire, crois-moi On a tous dit "ah c'est dommage, ah c'est dommage" C'est p't'être la dernière fois
On a tous dit "ah c'est dommage, ah c'est dommage" Ah c'est dommage, ah c'est dommage On a tous dit "ah c'est dommage, ah c'est dommage" Ah c'est dommage, ah c'est dommage
Ah elle aurait dû y aller Elle aurait dû le faire, crois-moi On a tous dit "ah c'est dommage, ah c'est dommage" C'est p't'être la dernière fois
Ah elle aurait dû y aller Elle aurait dû le faire, crois-moi On a tous dit "ah c'est dommage, ah c'est dommage" C'est p't'être la dernière fois
Vaut mieux vivre avec des remords qu'avec des regrets Vaut mieux vivre avec des remords qu'avec des regrets Vaut mieux vivre avec des remords qu'avec des regrets Vaut mieux vivre avec des remords c'est ça le secret
Rien qu'un gosse parmi des milliers de fous Il est pas moche, non, pas non plus beau Pas facile de faire son nid, son trou Haut comme trois pommes, demi-homme Cherche un cœur gros comme un soleil Un petit peu d'amour en somme Une voix pour lui dire à l'oreille
Petit, tu verras si tu crois en toi petit à petit Petit, tu verras tu grandiras Petit, tu verras si tu crois en toi petit à petit Petit, tu verras tu t'aimeras
Petit, tu sais, si souvent les mots Résonnent bien plus fort que les coups Il n'est jamais trop tard ni trop tôt Pour mettre ses rêves bout à bout Si je pouvais dire en secret Au gosse de l'époque que j'étais Qui voulait tout d'un air pressé Mais sans jamais s'aimer assez oh
Petit, tu verras si tu crois en toi petit à petit Petit, tu verras tu grandiras Petit, tu verras si tu crois en toi petit à petit Petit tu verras tu t'aimeras
Petit à petit Petit à petit tu pourras chanter bientôt Petit à petit tu sauras trouver les mots Petit à petit tu pourras chanter bientôt Petit à petit tu sauras trouver les mots
Petit, tu verras si tu crois en toi petit à petit Petit tu verras tu grandiras Petit, tu verras si tu crois en toi petit à petit Petit tu verras tu t'aimeras
Elle avait des bagues à chaque doigt Des tas de bracelets autour des poignets Et puis elle chantait avec une voix Qui, sitôt, m'enjôla
Elle avait des yeux, des yeux d'opale Qui me fascinaient, qui me fascinaient Y avait l'ovale de son visage pâle De femme fatale qui m'fut fatal De femme fatale qui m'fut fatal
On s'est connu, on s'est reconnu On s'est perdu de vue, on s'est r'perdu d'vue On s'est retrouvé, on s'est réchauffé Puis on s'est séparé
Chacun pour soi est reparti Dans l'tourbillon de la vie Je l'ai revue un soir, aïe, aïe, aïe Ça fait déjà un fameux bail Ça fait déjà un fameux bail
Au son des banjos je l'ai reconnue Ce curieux sourire qui m'avait tant plu Sa voix si fatale, son beau visage pâle M'émurent plus que jamais
Je me suis soûlé en l'écoutant L'alcool fait oublier le temps Je me suis réveillé en sentant Des baisers sur mon front brûlant Des baisers sur mon front brûlant
On s'est connu, on s'est reconnu On s'est perdu de vue, on s'est r'perdu de vue On s'est retrouvé, on s'est séparé Puis on s'est réchauffé
Chacun pour soi est reparti Dans l'tourbillon de la vie Je l'ai revue un soir ah! là là Elle est retombée dans mes bras Elle est retombée dans mes bras
Quand on s'est connu, quand on s'est reconnu Pourquoi s'perdre de vue, se reperdre de vue ? Quand on s'est retrouvé, quand on s'est réchauffé Pourquoi se séparer?
Alors tous deux on est repartis Dans le tourbillon de la vie On a continué à tourner Tous les deux enlacés Tous les deux enlacés
Ne crois pas que ça m'dérange Jour et nuit, je pense à toi Toi, tu te souviens de moi Au moment où ça t'arranges Et quand revient le matin Tu t'endors sur mon chagrin Johnny, tu n'es pas un ange
Johnny, Johnny Si tu étais plus galant Johnny, Johnny Je t'aimerais tout autant
Johnny, tu n'es pas un ange Ne crois pas que ca m'dérange Quand tu me réveilles la nuit C'est pour dire que tu t'ennuies Que tu voudrais une vie d'rechange Et quand revient le matin Tu t'endors sur mon chagrin Johnny, tu n'es pas un ange
Johnny, Johnny Si tu étais plus galant Johnny, Johnny Je t'aimerais tout autant
Johnny, tu n'es pas un ange Après tout, qu'est-ce que ça change L'Homme saura toujours trouver Toutes les femmes du monde entier Pour lui chanter ses louanges Dès qu'il en sera lassé Elles seront vite oubliées Vraiment vous n'êtes pas des anges
Johny, Johnny Depuis que le monde est né Johny, Johnny Il faut tout vous pardonner
Donnez moi une suite au Ritz, je n'en veux pas! Des bijoux de chez Chanel, je n'en veux pas! Donnez moi une limousine, j'en ferais quoi (papalapapapala) Offrez moi du personnel, j'en ferais quoi? Un manoir à Neufchatel, ce n'est pas pour moi Offrez moi la Tour Eiffel, j'en ferais quoi (papalapapapala)
Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur Ce n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur Moi j'veux crever la main sur le coeur, (papalapapapala) Allons ensemble, découvrir ma liberté Oubliez donc tous vos clichés, bienvenue dans ma réalité
J'en ai marre de vos bonnes manières, c'est trop pour moi! Moi je mange avec les mains et j'suis comme ça! J'parle fort et je suis franche, excusez moi! Finie l'hypocrisie moi j'me casse de là! J'en ai marre des langues de bois! Regardez moi, toute manière j'vous en veux pas Et j'suis comme ça (j'suis comme ça) (papalapapapala)
Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur Ce n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur Moi j'veux crever la main sur le coeur (papalapapapala) Allons ensemble, découvrir ma liberté Oubliez donc tous vos clichés, bienvenue dans ma réalité
Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur Ce n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur Moi j'veux crever la main sur le coeur, (papalapapapala) Allons ensemble, découvrir ma liberté Oubliez donc tous vos clichés, bienvenue dans ma réalité
Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur Ce n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur Moi j'veux crever la main sur le coeur, (papalapapapala) Allons ensemble, découvrir ma liberté Oubliez donc tous vos clichés, bienvenue dans ma réalité
Vous les femmes, vous le charme Vos sourires nous attirent nous désarment Vous les anges, adorables Et nous sommes nous les hommes pauvres diables
Julio: Hoy pasaste por mi lado Sin fijarte, sin mirarme de otros brazos. No quisiera ni pensarlo, Pero sigo como un tonto enamorado.
Nuno: Quien pudiera estar contigo y ser el otro Yo sabría retenerte poco a poco On se croit très forts on pense vous connaître On vous dit «toujours», vous répondez «peut-être».
Damien: Vous les femmes, vous mon drame Vous si douces, vous la source de nos larmes Pauvres diables, que nous sommes Vulnérables, misérables, nous les hommes.
Nuno: Quien pudiera estar contigo y ser el otro Yo sabría retenerte poco a poco...
Julio: Y es que a fuerza de ignorarme has conseguido Que te quiera como a nadie yo he querido.
Damien: Vous les femmes, vous le charme Vos sourires nous attirent nous désarment...
Julio: Pauvres diables, que nous sommes Vulnérables, misérables, nous les hommes
Tu ne viendras pas ce soir Tombe la neige Et mon cœur s'habille de noir Ce soyeux cortège Tout en larmes blanches L'oiseau sur la branche Pleure le sortilège
Tu ne viendras pas ce soir Me crie mon désespoir Mais tombe la neige Impassible manège
Tombe la neige Tu ne viendras pas ce soir Tombe la neige Tout est blanc de désespoir Triste certitude Le froid et l'absence Cet odieux silence Blanche solitude
Tu ne viendras pas ce soir Me crie mon désespoir Mais tombe la neige Impassible manège
C'est étrange, je ne sais pas ce qui m'arrive ce soir Je te regarde comme pour la première fois Encore des mots toujours des mots, les mêmes mots Je ne sais plus comment te dire Rien que des mots Mais tu es cette belle histoire d'amour que je ne cesserai jamais de lire
Des mots faciles, des mots fragiles c'était trop beau Tu es d'hier et de demain Bien trop beau De toujours ma seule vérité Mais c'est fini le temps des rêves Les souvenirs se fanent aussi quand on les oublie Tu es comme le vent qui fait chanter les violons Et emporte au loin le parfum des roses
Caramels, bonbons et chocolats Par moments, je ne te comprends pas Merci, pas pour moi mais tu peux bien les offrir à une autre Qui aime le vent et le parfum des roses Moi les mots tendres enrobés de douceur Se posent sur ma bouche, mais jamais sur mon coeur
Une parole encore Paroles et paroles et paroles Écoute-moi Paroles et paroles et paroles Je t'en prie Paroles et paroles et paroles Je te jure Paroles et paroles et paroles et paroles et paroles Et encore des paroles que tu sèmes au vent
Voilà mon destin, te parler Te parler comme la première foi Encore des mots toujours des mots, les mêmes mot Comme j'aimerais que tu me comprenne Rien que des mots Que tu m'écoutes au moins une fois Des mots magiques des mots tactiques qui sonnent faux Tu es mon rêve défendu Oui tellement faux Mon seul tourment et mon unique espérance Rien ne t'arrêtes quand tu commences Si tu savais comme j'ai envie d'un peu de silence Tu es pour moi la seule musique qui fait danser les étoiles sur les dunes
Caramels, bonbons et chocolats Si tu n'existais pas déjà, je t'inventerais Merci pas pour moi, mais tu peux bien les offrir à une autre Qui aime les étoiles sur les dunes Moi les mots tendres enrobés de douceur Se posent sur ma bouche mais jamais sur mon coeur
Encore un mot, juste une parole Paroles et paroles et paroles Écoute-moi Paroles et paroles et paroles Je t'en prie Paroles et paroles et paroles Je te jure Paroles et paroles et paroles et paroles Et encore des paroles que tu sèmes au vent
Que tu es belle Paroles et paroles et paroles Que tu est belle Paroles et paroles et paroles Que tu es belle Paroles et paroles et paroles Que tu es belle Paroles et paroles et paroles et paroles et paroles Et encore des paroles que tu sèmes au vent