mardi 14 juillet 2015
dimanche 12 juillet 2015
La Nouvelle-Calédonie
Les premières sources écrites concernant l'histoire de
la Nouvelle-Calédonie remontent à sa découverte en 1774 par James
Cook, l'archipel était alors déjà habité par une population
mélanésienne : les Kanaks. La Nouvelle-Calédonie est une collectivité sui
generis de la France.
La Nouvelle-Calédonie est proclamée colonie
française à Balade le septembre 1853 par
le contre-amiral Febvrier Despointes ; le 29 septembre, il négocie
l'annexion de l'île des Pins avec le grand chef Vendégou. La
Nouvelle-Calédonie devient le troisième élément des Établissements français du
Pacifique qui comprennent le royaume de Tahiti (dynastie des Pomaré),
protectorat français depuis 1842, et les îles Marquises, colonie depuis
1842 ; la Nouvelle-Calédonie se trouve sous la responsabilité du Commissaire
impérial, responsable du protectorat sur Tahiti.
Le juin 1854,
les militaires français fondent au sud-ouest de la Grande
Terre Port-de-France pour servir de chef-lieu à la colonie, simple
garnison qui deviendra rapidement une petite ville et prendra le nom
de Nouméa le juin 1866.
Sources:
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La Réunion
Île
de l’océan Indien longtemps inhabitée, la Réunion a été d’abord une escale de
la Compagnie française des Indes orientales, créée par Colbert en 1664. La
Réunion est devenue une véritable colonie française au XVIIIesiècle où a été pratiqué la culture du café.
La Guyane française
La Guyane a été occupée
par les Français dès le XVIIe siècle avec l'installation des
premiers colons, elle est appelée France équinoxiale (1604), ce territoire a
été disputé par différentes nations et c'est en 1713 que la frontière de la
Guyane française a été établie.
La Guyane (prononcé [gɥi.ˈjan ] ; lagwiyann en
créole) est une région et un département d'outre-mer (DOM) français d'Amérique
du Sud. Son code Insee est le 973. Avec une superficie de 83 846 km2,
la Guyane est le plus grand département français (environ 1/9 du territoire
national), la plus grande région de France et une des moins peuplées
après Mayotte, Saint-Martin et Saint-Barthélemy.
C'est également le département le plus boisé, 98 % du territoire étant
couvert d'une forêt équatoriale qui reste parmi les plus riches et
les moins écologiquement fragmentées du monde.
Le territoire guyanais fait partie des neuf régions
ultrapériphériques (RUP) de l'Union européenne. C'est le seul territoire
continental de l'Union européenne en Amérique du Sud.
Son nom officiel
est « Guyane ». L'ajout de l'adjectif « française » dans
les dénominations courantes est une commodité de langage issue de la période coloniale et
aujourd'hui obsolète dans la mesure où il n'y a plus à notre époque en français
d'ambiguïté quant à la Guyane considérée. En effet il existe
plusieurs Guyanes : le Guyana (ancienne Guyane
britannique ou anglaise), le Suriname (ancienne Guyane néerlandaise ou
hollandaise) et la Guyane. Elles s'intègrent au sein du plateau des
Guyanes avec une partie du Venezuela, délimité par le fleuve Orénoque,
et le Nord du Brésil, délimité par l'Amazone.
La Guyane devient colonie française en 1604
Sources:
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Le Madagascar (1897-1958)
La colonie de Madagascar désigne
la période de colonisation française de l'île de Madagascar de 1897 à 1958. Elle commence avec les annexions par la
France du protectorat sur le Royaume merina et des sultanats des îles
des Comores. Les îles des Comores obtiennent une administration indépendante en
1946, en devenant un territoire d'outre Mer. Suite à l'approbation,le 28
septembre 1958, du réferendum sur la Communauté française, le statut de
colonie est abandonnée et la république malgache est proclamée le 14 octobre
1958.
Les Comores (1912-1946)
Au début du XIXème siècle,
l'archipel est gouverné par un sultanat basé sur l'île d'Anjouan. Mais il est
menacé par les raids du royaume de Madagascar, et les puissances européennes
tirent profit de ces guerres, et surtout de leur avantage technique, pour
s'imposer. C'est la France qui dominera dans la région.
En 1816, le
sultan d'Anjouan Abdallah Ier se rend sur l'île Bourbon (la
Réunion) pour demander la protection de Louis XVIII. Le 25 avril 1841, Mayotte
devient protectorat français : le sultan Adrian Tsouli y est contraint, et
en échange il reçoit 5000 francs (d'époque) et la scolarisation de ses enfants
à La Réunion. L'impérialisme français gagne par là un port stratégiquement
important.
En 1866, la
France étend sa domination sur l'archipel : Anjouan devient protectorat français,
la marine est envoyée pour "convaincre" le sultan Saidi Abdallah bin
Salim réticent.
Le 24 juin 1886,
le Sultan de Grande Comore qui a réussi à unifier l'île, grâce aux Français,
accepte, sous la pression, de passer sous protectorat français. Il est ensuite
exilé pour ne plus revenir. Mohéli est également placée sous protectorat cette
même année.
Colonie
française depuis la fin du XIXe siècle, les îles Comores ont obtenu l'autonomie
interne en 1961 mais n'ont pas accédé à l'autodétermination à ce moment, comme
la plupart des pays d'Afrique. Le 22 décembre 1974, trois des quatre îles de l'archipel - Grande
Comore, Anjouan, Mohéli -
expriment par une forte majorité leur désir d'indépendance. Une autre, Mayotte, vote en faveur du maintien d'un lien
avec la France, une volonté que confirment deux référendums tenus le
8 février et le 11 avril 1976. Les îles Comores proclament leur indépendance le
6 juillet 1975. Elle sera reconnue par l'Organisation des Nations unies (ONU)
en novembre et par la France en janvier 1976. Les premières années
d'existence du nouvel État seront marquées par une profonde instabilité
politique.
Sources:
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Le Sahara français
Le Sahara français est
la portion du Sahara conquise par
la France et partagée en plusieurs territoires rattachés aux colonies
françaises d'Algérie, du Maroc, de Mauritanie, du Niger,
du Soudan français, du Tchad et de la Tunisie.
Le Sénégal (1895-1960)
Sous le commandement de Louis Faidherbe
et de ses successeurs, la France étend et renforce son contrôle sur les
populations. En 1895, le
Sénégal devient officiellement une colonie française, administrée depuis Saint-Louis. En
1902, le gouvernement s’installe à Dakar, qui devient la capitale de l’Afrique-Occidentale française. La France développe
l’économie sénégalaise autour de la culture de l’arachide destinée à
l’exportation. Les Africains de Saint-Louis et de l’île de Gorée deviennent
citoyens français et envoient un député pour les représenter à l’Assemblée
nationale en 1848-1852. Après 1871, les habitants de Dakar et de Rufisque
bénéficient également de la citoyenneté et peuvent élire un représentant (pour
des raisons religieuses, les musulmans refusent de s’y associer). Dakar devient
la capitale administrative de l’Afrique-Occidentale française (A-OF).
L'Afrique-Occidentale
française (AOF) était une fédération groupant,
entre 1895 et 1958, huit colonies françaises d'Afrique
de l'Ouest, avec l'objectif de coordonner, sous une même autorité,
la colonisation française sur le continent africain. Constituée
en plusieurs étapes, elle réunit à terme la Mauritanie, le Sénégal,
le Soudan français (devenu Mali), la Guinée, la Côte
d'Ivoire, le Niger, la Haute-Volta (devenue Burkina Faso)
et le Dahomey (devenu Bénin), soit près de 25 millions de
personnes au moment de sa dissolution.
Une organisation comparable est instaurée
en Afrique-Équatoriale française (AEF) en 1910.
Le Congo français (1880-1906)
Le
Congo français était une colonie composée de l'actuel Gabon et de la République du Congo. La capitale était Libreville(1882).
Le protectorat français du Laos (1893-1954)
Le protectorat
français du Laos était le gouvernement fédérant les
différents États peuplés par le peuple Lao,
sur le territoire de l'ancien royaume du Lan Xang et de l'actuel Laos. Composante de l'Indochine française, le
protectorat du Laos donne naissance en 1946 à l'État centralisé du Royaume du Laos, qui
accède ensuite au statut d'État associé de l'Union
française. La France transfère ensuite
progressivement sa souveraineté au Laos avant de reconnaître l'indépendance
pleine et entière du pays à la fin de la guerre
d'Indochine.
Le Protectorat français du Cambodge (1863-1953)
Le Protectorat
français du Cambodge était le régime politique en vigueur au Cambodge à partir de 1863, quand la France (alors
le Second Empire) établit sa protection sur le Royaume,
jusque-là vassal du Siam (Thaïlande). Intégré en 1887 à l'Indochine française lors
de la création de cette dernière, le Cambodge accède en 1946 au statut d'État associé de l'Union française. En novembre 1949, le protectorat est officiellement aboli, mais
le Cambodge demeure largement sous influence française au sein de la Fédération
indochinoise, jusqu'à sa proclamation d'indépendance en 1953, réaffirmée l'année suivante par les accords de Genève.
La Guinée française (1891-1958)
La Guinée française était une
colonie, et finalement un territoire d'outremer français en
Afrique de l'Ouest qui devint indépendant en 1958 sous
le nom de Guinée.
La Guadeloupe et la Martinique
Respectivement
île et archipel situés au large des côtes de l’Amérique du Sud, la
Martinique et la Guadeloupe, avec Saint-Martin et Saint-Barthélemy, ont été
colonisées dès le XVIIe siècle par les Français, au nom de la
Compagnie des Îles d’Amériques créée par Richelieu. Le Traité de
Paris rend les colonies de Guadeloupe et de Martinique à la France en 1763.
Au
début du 17e siècle et suite à de lourdes défaites navales, les Espagnols
délaissent finalement les Petites Antilles pour s’intéresser à l’Amérique
Centrale. Les flibustiers anglais et français qui naviguaient dans l’archipel
des Antilles deviennent alors des colons, notamment à Saint-Christophe (Saint
Kitts & Nevis) où ils s’installent en 1624. Et c’est en provenance de cette
île voisine que deux capitaines français, Charles Liénart de l’Olive et Jean
Duplessis d’Ossenville, débarquent en Guadeloupe, à la Pointe Allègre
(Sainte-Rose), le 28 juin 1635, avec 550 hommes, dans l’objectif d’y créer une
colonie française au nom de la Compagnie des Iles d’Amérique, fondée par Richelieu.
Sans
ressources ni vivres, les colons français apprennent et reproduisent les
techniques amérindiennes pour la culture des racines et pour la chasse. C’est
sans doute à travers cet héritage agricole que les Amérindiens de Guadeloupe
ont laissé l’empreinte la plus importante dans la culture, l’économie et les
paysages de l’archipel.
Sources:
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La Côte d'Ivoire (1893-1956)
En 1842, est signé le traité de protectorat de Grand-Bassam. La Côte-d'Ivoire devient
officiellement une colonie française le mars 1893. Le capitaine Binger, qui
partit de Dakar pour rallier Kong, où il rencontra Louis
Marie Marcel Treich-Laplène (un commis d'Arthur Verdier), fut le premier
gouverneur. La capitale était à Grand-Bassam. Il négocia des traités
frontaliers avec le Royaume-Uni (pour le Liberia) et plus tard
commença une campagne qui dura jusqu'en 1898 contre Samory
Touré, un chef guerrier malinké guinéen.
De 1904 à 1958, le pays est inclus dans la Fédération
de l'ouest africain français appelée Afrique-Occidentale
française (AOF). C'était une colonie et un territoire
d'outre-mer pendant la Troisième République. Jusqu'à la période
suivant la Seconde Guerre mondiale, les affaires gouvernementales sont caractérisées
par l'association qui faisait des habitants des colonies des sujets français
sans droit de représentation. Sa capitale est Bingerville jusqu'en 1933,
puis Abidjan.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Régime de
Vichy garde le contrôle du territoire jusqu'à la fin 1942 :
l'AOF se rallie ensuite à l'exécutif d'Alger, et passe l'année suivante sous
l'autorité du Comité français de Libération nationale. La conférence
de Brazzaville en 1944, la première assemblée constituante de 1946 et
la gratitude de la France pour la loyauté des Africains poussèrent à des
réformes à partir de 1946. La citoyenneté française fut accordée aux sujets
africains, le droit de s'organiser politiquement leur fut reconnu, et le travail
forcé fut aboli par la loi du 11 avril 1946, proposée par Félix
Houphouët-Boigny.
En 1956, la loi-cadre de réforme de l'outremer
décida du transfert de nombreux pouvoirs de Paris vers des autorités
locales et d'une plus grande uniformisation des conditions de vote.
La Cochinchine (1862-1949)
Le nom de Cochinchine a été employé pour
désigner une colonie française, conquise militairement en 1858, dans la partie
Sud de l'actuel Viêt Nam. Par le traité de Saïgon en 1862, la dynastie
Nguyễn reconnaît la conquête française. La France annexe directement le Sud de
la Cochinchine - nom jusque-là donné à la moitié Sud de
l'actuel Viêt Nam - et s'arroge les terres les plus riches du pays.
Ce n'est que dans les années 1880 que la France conquiert le reste du
territoire Vietnamien, divisé en trois parties et placé en 1887 sous l'autorité
du Gouverneur général de l'Indochine française. La Cochinchine demeure séparée
des deux autres parties du territoire vietnamien, l'Annam et
le Tonkin, qui ont le statut de protectorats ; ce n'est qu'en
1949 qu'elle est réintégrée au reste du Viêt Nam.
L'Inde française (1816-1956)
L'Inde française regroupe différentes possessions coloniales françaises côtières en Inde entre 1668 et 1954. À partir de1816, elles portent le nom d'Établissements
français dans l'Inde et incluent Pondichéry, Karikal et Yanaon sur la côte de Coromandel, Mahé sur la côte de Malabar et Chandernagor au Bengale. Le premier comptoir est installé à Surate en
1668 par la Compagnie française des
Indes orientales, puis
c'est le tour de Pondichéry en 1673, de Chandernagor en 1686, de Mahé en 1721,
de Yanaon en 1725 et de Karikal en 1739, constitués en districts d'un même
territoire, auxquels s'ajoutent les comptoirs (ou loges) de Balasore, Cassimbazar, Yougdia, Dacca, Patna, Masulipatam, Calicut et Surate. Chandernagor est rendue à
l'Inde dès 1949, le reste devenant indien en 1954.
Le Protectorat français du Tonkin (1884-1948)
Le Protectorat du Tonkin était un territoire placé sous protection de
la France. Le traité de Hué, signé en 1884, établit au Tonkin -
région correspondant au Nord de l'actuel Viêt Nam - une autorité
politique distincte de celle exercée au protectorat d'Annam : le
territoire vietnamien qui, après la conquête de la Cochinchine, demeurait
sous l'autorité de la dynastie Nguyễn, est désormais divisé en deux.
Officiellement toujours sous l'autorité monarchique de l'empereur d'Annam, le
Tonkin est rapidement, dans les faits, géré comme une colonie, le
résident-général disposant de tous les pouvoirs. En 1887, le Tonkin est,
comme l'Annam et la Cochinchine, placé sous l'autorité du gouverneur général de
l'Indochine française, qui siège à Hanoï. Le Tonkin était appelé en
Vietnamien Bac Ky (« Pays du Nord »), ou Bac Bo (« région du Nord »).
Le Protectorat français d'Annam (1884-1948)
Le
Protectorat d'Annam, situé au Centre de l'actuel Viêt
Nam, était un territoire placé sous protection de la France. Le traité
de Hué, signé en 1884, place l'Annam sous l'administration indirecte de la
France, tandis que le Tonkin (Nord) est mis sous un régime de
protectorat distinct. Le territoire vietnamien qui, après l'annexion de la Cochinchine,
demeurait sous l'autorité de la dynastie Nguyễn, est désormais divisé en
deux. Le nom d'Annam, utilisé jusque-là en Occident pour désigner le
Viêt Nam dans son ensemble en reprenant l'appellation utilisée par les Chinois,
est désormais employée pour désigner uniquement le centre du pays.
En 1887,
l'Annam est, comme le Tonkin et la Cochinchine, placé sous l'autorité du
gouverneur général de l'Indochine française, qui siège à Hanoï, tandis que
la cour de l'empereur d'Annam, qui demeure officiellement le souverain de
l'Annam et du Tonkin, se trouve à Hué. L'Annam était appelé en
Vietnamien Trung Ky (« pays du Centre »), les
nationalistes vietnamiens préférant l'appellation Trung Bo (« région
du Centre »).
En 1948,
l'Annam est réunifié avec le Tonkin au sein du Gouvernement central
provisoire du Viêt Nam. La Cochinchine rejoint les deux autres territoires
l'année suivante et l'État du Viêt Nam est proclamé.
Le Protectorat français d'Annam (1884-1948)
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L'Algérie coloniale (1830-1962)
Les expressions « Algérie
française », « Algérie coloniale », « Algérie
colonisée », ou bien en Algérie celle d'« Algérie au temps
de la France » ou le simple terme de « colonisation » (en arabe الاستعمار, istiʿmar),
désignent la période historique durant laquelle l'Algérie fut sous la
domination française. Cette période comprend la conquête de l'Algérie par
la France (qui débuta par la prise d'Alger en 1830 et
se termina par l'annexion du Sahara en 1902), la colonisation proprement
dite par la France avec la création des départements français
d'Algérie (1848-1957) (Oran, Alger et Constantine) et des Territoires
du Sud (1902-1957), et enfin la guerre d'Algérie (1954-1962)
jusqu'à la proclamation de l'indépendance du pays le 5 juillet 1962.
L'Algérie (1830-1962)
Sources:
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Saint-Pierre et Miquelon
Saint-Pierre-et-Miquelon est un archipel
au sud de l’île de Terre Neuve au Canada. C’est le seul territoire français en
Amérique du Nord. D’abord occupé par des pêcheurs français dès 1604,
Saint-Pierre-et-Miquelon a acquis son statut de collectivité territoriale en
1985.
Saint-Pierre-et-Miquelon est un archipel français d'Amérique
du Nord situé dans l'océan Atlantique nord, à 25 km au sud
de l’île canadienne de Terre-Neuve. Ancien département
d'outre-mer, puis collectivité territoriale à statut particulier, c'est
aujourd'hui une collectivité d'outre-mer.
L'archipel est composé de deux îles principales : Saint-Pierre,
la plus petite qui abrite cependant 86 % de la population, ainsi que Miquelon constituée
de deux presqu'îles : Grande Miquelon et Langlade reliées
entre elles par un isthme de sable (tombolodouble) depuis le xviiie siècle.
D'autres petites îles et îlots non habités font partie de l'archipel
(la souveraineté sur l'Île Verte étant incertaine).
Comme la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et Clipperton,
l'archipel est un des sept territoires français en Amérique et le
seul en Amérique du Nord, dernier vestige de la Nouvelle-France, perdue
lors de la guerre de Sept Ans.
Francis Lemarque - La grenouille (avec paroles)
au bord d'un étang
Il attrape une grenouille
qui dit en tremblant:
"laisse-moi m'en aller
Et je te promets
De réaliser
trois de tes souhaits"
refrain1 (bis)
"Fais un voeu mon bonhomme
car je peux mon bonhomme
si tu veux mon bonhomme
te donner le bonheur"
2.Tout surpris par ce langage
il lui dit:"je veux
beaucoup d'or dans mes bagages
des habits soyeux."
Mais au bout d'un mois
il revint la voir
Et lui demanda:
"donne moi la gloire.
refrain 2
Ce voeu là mon bonhomme,
Tu l'auras mon bonhomme,
Mais cela mon bonhomme,
N'est pas le vrai bonheur"
Fais un voeu mon bonhomme
Car je peux mon bonhomme
Si tu veux mon bonhomme
Te donner le bonheur
3-De tous les puissants sur terre il devint le roi
Mais dans son coeur solitaire y'avait plus de joie
il revint un jour , triste et malheureux
Donne moi l'Amour , c'est mon dernier voeu
refrain3(bis)
Ce voeu là mon bonhomme
Tu l'auras mon bonhomme
Et cela mon bonhomme
Sera le vrai bonheur
4-Poussant une plainte étrange , la grenouille alors
devant lui soudain se change
en fille aux cheveux d'or
La main dans la main, ils s'en sont allés
Et sur leur chemin, les oiseaux sifflaient
refrain(bis)
sois heureux mon bonhomme
Car ton voeu mon bonhomme
Pour toujours mon bonhommet'as donné le bonheur
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